La formation indispensable pour ne plus jamais vous laisser impressionner par des personnes qui revendiquent des droits dont ils ne connaissent rien !
Tous les photographes, professionnels ou amateurs, sont amenés à se poser toujours les mêmes questions, du genre : est-ce que je peux photographier des personnes dans la rue ?
Est-ce que je peux photographier dans un musée, ou dans une gare, dans un supermarché ?
J’ai pris une photo de la tour Eiffel : puis-je la diffuser sans autorisation, et, d’une manière générale, ai-je le droit de diffuser toutes mes photos, et sinon, qu’est-ce qui pourrait m’en empêcher ?
Ces questions, je me les suis posées également pendant longtemps, et en tant que professionnel, il fallait bien que j’y apporte des réponses, pour moi-même bien sûr, mais aussi pour mes élèves qui me sollicitent sans cesse sur ce sujet !
C’est ce qui m’a motivé à écrire cette formation.
Mais une autre raison m’a poussé à accélérer sa parution.
Car, comme vous je suppose, je suis de plus en plus excédé par le comportement des gens qui vous agressent à tout bout de champ dès lors qu’ils vous soupçonnent de les avoir photographiés, forcément, selon elles, avec une intention malveillante, voire même qui interviennent au nom de quelqu’un d’autre qui ne leur a rien demandé, en défenseurs vertueux de droits dont ils ne connaissent rien.
Ces interventions sont parfois assez virulentes et, malheureusement de plus en plus fréquentes.
Tout y passe : le droit d’auteur, le droit à l’image, des demandes d’indemnités, l’injonction de détruire les clichés, etc.
Même si, pour être honnête, il arrive quand même beaucoup plus souvent que les choses se passent bien, cette situation, n’est pas seulement désagréable : elle est insupportable !
Il n’y a aucune raison de se laisser impressionner par ce genre d’interventions !
Il y a aussi autre chose d’insupportable : ce sont les interdictions de photographier en tout genre, incompréhensibles, et pour cause : elles se révèlent être bien souvent tout simplement illégales.
Mais le pire, ce sont les personnes qui, chargées d’une autorité quelconque, en usent pour vous interdire de photographier, même dans l’espace public, des personnes, des activités ou des bâtiments, sous prétexte que vous n’en auriez pas le droit.
Alors qu’en fait, elles n’en savent rien !
Cela m’est arrivé plusieurs fois, et je sais à quel point c’est frustrant, combien ce sentiment d’injustice et d’arbitraire est déstabilisant, et combien il est préférable, dans ces cas-là, de savoir quoi répondre plutôt que de subir la situation.
Il n’y a aucune raison de subir une autorité arbitraire !
Toute cette agressivité, toutes ces interdictions et toutes ces interventions intempestives, finissent par gâcher un peu la fête !
En fait, sauf à être inconscient et de photographier et de diffuser n’importe quoi, on tombe souvent dans l’excès inverse : en proie au doute, on finit par être paralysé par la peur.
Et faute de ne pas savoir, on s’inflige une perpétuelle autocensure qui nous empêche de photographier ou de diffuser nos images alors qu’on en aurait le droit.
Encore une frustration supplémentaire.
Il n’y a aucune raison de s’infliger une éternelle autocensure !
Il est vain de vouloir changer les autres : on tombera toujours inévitablement sur le genre de personnes que je viens de décrire, et sur des interdictions.
En revanche, on peut agir sur soi !
Et la transformation, qui peut être très rapide, s’effectue en trois temps :
Vous avez besoin d’une formation pour remettre un peu d’ordre dans tout ça.
Car plus vous aurez les idées claires sur ce sujet, plus vous serez armé pour désamorcer les tentatives d’intimidation en la matière.
Connaître vos droits renforce votre confiance en vous.
Ce faisant, fini l’autocensure !
Vous pouvez alors oser prendre des photos en toute connaissance de cause.
Et comme la photographie est un partage, vous n’hésitez plus à utiliser vos photos dans des blog, des expos, des articles de journaux ou sur les réseaux sociaux, sans crainte de vous retrouver au tribunal.
Avec une meilleure connaissance du sujet, non seulement vous saurez mieux défendre vos droits, mais vous serez en mesure d’expliquer les leurs à des personnes, qui, de bonne foi, pensaient à tort que vous en abusiez.
Pour autant, je vous rassure, cette formation, d’un peu plus d’une heure en 28 vidéos, n’est pas un cours de droit.
Mais elle vous fera gagner en sérénité au moment de la prise de vue et de la diffusion de ses photos.
Vous ne pratiquerez plus cette autocensure frustrante et serez plus épanoui(e)s dans votre activité de photographe, qui doit rester, je pense que vous serez d’accord avec moi, un plaisir avant tout.
On y aborde tour à tour :
Certaines réponses vont vous étonner !
Grâce à cette formation, le spectre du tribunal que vous redoutiez peut-être, s’éloigne définitivement.
Elle est donc très utile, et même d’utilité publique dans la mesure ou elle est de nature à apaiser des tensions générées par ce sujet.
Elle concerne donc toute personne exerçant la photographie et souhaitant retrouver la liberté de photographier dans un cadre maîtrisé.
Si vous vous retrouvez dans cette définition, ou si vous voulez en savoir un peu plus sur ce sujet, vous savez ce qu’il vous reste à faire :
cliquez sur le bouton vert ci-dessous !
A tout de suite !